L’intrigue se déroule dans un avenir dystopique , lorsque les ressources de la Terre sont presque épuisées et que les villes sont transformées en forteresses en mouvement. Au début du troisième millénaire, mille ans avant les événements du film, la civilisation existante avait été détruite lors de la guerre dite de 60 minutes. Des villes prédatrices telles que Londres chassent et dissèquent des villes plus petites et des comptoirs commerciaux pour s’approprier ces précieux produits. Mais ce système, basé sur une idéologie appelée “darwinisme urbain”, atteint ses limites, car l’immense ville touche à sa fin en raison de la proie de plus en plus rare de celle-ci. Les ressources d’une civilisation de colonies solides situées en Asie pourraient constituer une issue. Celles-ci sont unies comme une ligue anti-tractioniste dans la lutte contre les villes prédatrices et protégées par un grand mur sur lequel d’autres villes en mouvement ont échoué. L’apprenti en archéologie Tom Natsworthy vit à Londres. Il empêche l’assassinat de la jeune femme masquée Hester Shaw à la tête de la guilde des archéologues Thaddeus Valentine. La meurtrière empêchée parvient à s’échapper de la ville, non sans laisser entendre à Tom la raison de leurs actes. Ensuite, Thaddeus jette Tom hors de bord par peur de cette connaissance. Tout au long du film, il s’avère que Thaddeus est le père de Hester et a tué sa mère pour avoir une arme redoutable. Avec cette arme, il dirige Londres vers le grand mur pour le détruire. La communauté de complaisance initiale, Hester et Tom, prend contact avec les habitants derrière le mur et tente de repousser l’attaque au cours de laquelle les forces militaires des défenseurs ont déjà été détruites. Un code invalidant pour l’arme destructrice que Hester a obtenue de sa mère mourante est censé arrêter la ville du vol. Dans une mission suicide, ils envahissent Londres, peuvent sauver le mur déjà gravement endommagé de la destruction totale et détruire le lecteur de Londres. La ville des brigands s’immobilise peu avant le mur, c’est à la fin. Ses habitants sont épargnés par la population des villes fixes et accueillis avec humanité.